Découvrez les métiers et produits de la mer au Salon international de l’agriculture

Mis à jour le 25/02/2025

Actualité

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Du 22 février au 2 mars 2025, le ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche vous invite sur son stand pour la 61e édition du Salon international de l’agriculture (SIA) à Paris Expo Porte de Versailles. Venez échanger avec des élèves et des directeurs des lycées professionnels maritimes, découvrez les nombreuses facettes des métiers de la pêche et de l’aquaculture ainsi que la diversité des produits de la mer à travers un programme riche de conférences, démonstrations, ateliers et jeux de piste.

Illustration - Salon International de l'Agriculture 2023

© Romain Devoise

Informations pratiques

Lieu : retrouvez le stand du ministère au pavillon 4, hall 4 – Mer et eau douce, stand 4 D143.

Horaires : le SIA vous accueille tous les jours de 9 h à 19 h.

Réservations : consultez le site du salon pour acheter vos billets.
 

Rencontrez des professionnels et participez à des animations

Dans la continuité de la campagne de communication « La Mer embauche » lancée en 2023, le ministère vous propose de découvrir les métiers de la pêche et de l’aquaculture.

Tous les jours, rencontrez des élèves, des directeurs et cadres des 12 lycées professionnels maritimes (LPM) qui partagent leur expérience et répondent à vos questions sur les différentes formations des filières pêche et aquaculture ainsi que les possibilités de carrière. 

Participez à des ateliers et démonstrations, tels que :

  • des ateliers culinaires animés par les lycéens des LPM sur le stand de France filière pêche en fin de matinée afin de découvrir la diversité des produits de la mer et les nombreuses manières de les cuisiner  ;
  • des démonstrations pratiques indispensables au métier de pêcheur, telles que les techniques de pêche, la réparation des filets de pêche, les ateliers nœuds et matelotage, la lecture de cartes marines ;
  • des diffusions de portraits vidéos témoignages sur les métiers de la mer ;
  • une maquette de bateau de pêche pour mieux appréhender la vie et les activités à bord ;
  • un jeu de piste pour les enfants, animé par Génération Mer pour tout savoir sur les enjeux maritimes, dans le cadre de l’Année de la Mer.

Les 26 février et 1er mars, Génération Mer sensibilisera les visiteurs à l’indispensable préservation de l’environnement marin et l’enjeu de la gestion durable des ressources. 

La filière maritime offre de nombreux parcours professionnels et représentera, d’ici 2030, un potentiel d’un million d’emplois.

Les temps forts pour les filières pêche et aquaculture

Durant le salon, le ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche vous donne rendez-vous pour des tables rondes et des présentations dédiées aux enjeux des filières pêche et aquaculture.

Programme

Forte de sa place de premier producteur d’algues de l’Union européenne, la France formalise avec cette feuille de route une vision partagée des enjeux et leviers pour assurer l’essor de la filière algale et répondre aux besoins croissants, dans le respect des enjeux environnementaux.

L’objectif de la démarche initiée par le Gouvernement est désormais de s’appuyer sur cette feuille de route pour définir des actions s’inscrivant dans ces orientations, dans le cadre de groupes de travail thématiques.

La feuille de route sur l’algoculture officialise la mise en place d’une politique de soutien et de valorisation à cette filière nouvelle et en plein essor.

Lieu : espace Agora du stand du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.

Les professionnels de la filière conchylicole et les administrations présentent les nombreuses actions engagées pour garantir et valoriser la qualité des coquillages, notamment la mise en œuvre de systèmes d’alerte et de détection comme Oxyvir et Copernic, les mesures du plan Aquacultures d’avenir ainsi que la gestion des risques sanitaires et de la qualité de l’eau.

Lieu : espace Agora du stand du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.

Le comité interprofessionnel des produits de l’aquaculture (CIPA) a développé une marque « Poisson d’Aquaculture Français » pour favoriser la consommation des poissons élevés en France. Son développement a été financé par l’État et le Fonds européen pour les affaires maritimes, la pêche et l’aquaculture (FEAMPA) afin que les consommateurs puissent s’assurer de la garantie, par les professionnels, d’un poisson né, élevé, abattu, transformé et conditionné en France.

Lieu : stand du CIPA.

Chaque année, plusieurs millions de tonnes de poissons, crustacés, mollusques et autres animaux aquatiques sont pêchés dans le monde. Au moins 15 % sont issus de la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN), pratique qui menace les écosystèmes marins et l’économie bleue. Au titre de la réglementation européenne, la France impose un régime de certification des captures pour contrôler l’importation et l’exportation des produits de la pêche. Ce système permet d’assurer qu’aucun produit de la mer mis sur le marché n’est issu de pêche INN grâce à un certificat de capture qui suit les produits tout au long de la chaîne.

Lieu : espace Agora du Carrefour des Pros de l'Agri (Hall/Pavillon 4). 

Le ministère aux côtés des filières

La pêche et l’aquaculture doivent, aujourd’hui, répondre à des défis communs :

  • la cohabitation avec un espace maritime de plus en plus convoité, où les activités se multiplient (tourisme, énergies marines renouvelables…) ;
  • les interactions avec l’environnement marin, avec pour objectif de préserver la biodiversité.

Face à ces enjeux et de manière concertée avec les filières, le ministère prend des mesures pour :

  • assurer la gestion et l’exploitation durables et responsables des ressources halieutiques ;
  • renforcer l’accompagnement économique des filières ;
  • renforcer la place des aquacultures dans les territoires et sa bonne cohabitation avec les autres usages, notamment grâce au plan Aquacultures d’avenir ;
  • accroître la valeur et la traçabilité des produits, ainsi que la performance environnementale des activités de pêche et d’aquaculture ;
  • lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée ;
  • promouvoir la recherche pour mieux comprendre et réduire les conséquences des activités humaines sur les écosystèmes et la biodiversité marine.